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On parle souvent d’hypersensibilité comme d’une fragilité. Pourtant, elle n’est ni un défaut ni une faiblesse. C’est avant tout une manière singulière de ressentir le monde, une sensibilité fine qui amplifie les émotions, les perceptions et les liens. Cette intensité, lorsqu’elle n’est pas comprise, peut parfois épuiser. Mais accompagnée et reconnue, elle devient une véritable richesse : un atout pour mieux se connaître et vivre plus en accord avec soi-même. Sophie Varaine, sophrologue à Lyon 69006, accompagne les personnes hypersensibles à travers la sophrologie pour les aider à apaiser leurs émotions, restaurer leur équilibre et révéler la force contenue dans leur sensibilité.
Dans un monde où tout va vite, cette sensibilité profonde est encore trop souvent mal perçue. Pourtant, loin d’être un fardeau, elle peut devenir une force d’équilibre et un chemin vers une meilleure compréhension de soi
Dans nos sociétés orientées vers la performance et la rapidité, l’hypersensibilité est parfois jugée « excessive ». Les émotions sont vues comme des obstacles plutôt que des forces. Pourtant, les personnes hypersensibles sont de véritables capteurs du climat émotionnel : elles perçoivent les détails invisibles, détectent les tensions relationnelles et favorisent l’empathie dans les groupes. Leur présence rappelle que la vulnérabilité est aussi une richesse sociale.
Psychologiquement, l’hypersensibilité est un trait de personnalité, non un trouble. Le cerveau des hypersensibles traite l’information plus intensément, ce qui explique une réactivité plus forte aux bruits, aux émotions ou aux interactions sociales.
Cette sensibilité accrue peut se manifester de différentes manières :
Mal comprise, cette intensité peut conduire à une fatigue physique et mentale importante. Mais lorsqu’elle est reconnue et accompagnée, elle devient un moteur de créativité, d’intuition et de résilience.
Être hypersensible, c’est ressentir profondément : joie, chagrin, empathie. Cette intensité est parfois difficile à vivre, car elle brouille la frontière entre ses propres émotions et celles des autres.
Où s’arrête mon histoire ? Où commence celle de l’autre ?
Sans discernement, l’hypersensible risque de se confondre avec la souffrance de l’autre, perdant ainsi sa lucidité. La sophrologie aide à retrouver une juste distance émotionnelle : accueillir sans s’approprier, compatir sans se dissoudre.
Au quotidien, l’hypersensibilité propulse l’individu dans un monde d’hyper-informations. L’esprit sature, les émotions débordent, et les stratégies de protection (isolement, sur adaptation) ne suffisent plus.
Ainsi, l’hypersensibilité devient une boussole intérieure au lieu d’un poids quotidien.
Les hypersensibles ne ressentent pas seulement plus d’émotions : ils reçoivent plus d’informations. Cela peut générer frustration, sentiment d’injustice et agitation.
Leur rapport au temps est particulier : certains courent après chaque minute, d’autres respectent scrupuleusement les horaires et ne dérogent jamais à leur parole. Cette fidélité à l’engagement souligne l’importance de la communication et de la parole donnée.
La sophrologie, en apprenant à ralentir et à se recentrer, permet de retrouver un équilibre entre disponibilité aux autres et respect de soi.
✨ L’hypersensibilité n’est pas un fardeau : c’est une force subtile à révéler. Elle invite à ralentir, à ressentir et à donner du sens.
Avec la sophrologie, cette intensité devient une ressource précieuse : un art de ressentir pleinement la vie, tout en gardant discernement et équilibre.
🌿 Prendre conscience de la valeur de votre hypersensibilité, c’est déjà un pas vers l’apaisement.
💫 L’accueillir, c’est vous offrir la possibilité d’en faire une véritable force, au service de votre bien-être.
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Chaque jour, nos écrans diffusent un flot d’informations sans fin. Ce défilement continu, appelé doomscrolling, entretient le stress et favorise la dépendance numérique.
Peu à peu, l’esprit s’épuise, la concentration diminue et le sommeil devient plus fragile.
Sophie Varaine, sophrologue à Lyon 69006, propose une approche douce pour apaiser ce lien d’hyperconnexion et retrouver un équilibre intérieur durable.
Le doomscrolling correspond au réflexe de faire défiler sans fin des actualités anxiogènes.
Ce comportement active le système de stress : l’amygdale s’alarme, le corps sécrète cortisol et adrénaline.
À la longue, le cerveau s’épuise ; la dépendance numérique s’installe.
Conséquences :
fatigue mentale ;
baisse de motivation ;
perte de discernement.
En cabinet à Lyon 69006, j’observe souvent que ce flux d’informations engendre une tension corporelle constante et une respiration bloquée.
La sophrologie aide à rompre le cycle du doomscrolling et de la dépendance numérique en ramenant le corps et l’esprit dans le moment présent.
Les exercices de respiration consciente calment l’amygdale et rétablissent la clarté mentale.
Les sensations d’appui, de poids ou de chaleur permettent de quitter le mode “réaction” pour revenir au ressenti réel.
Un temps de silence, une marche ou une visualisation positive offrent au cerveau un espace de récupération.
Ces pratiques, utilisées en séance à Lyon 69006, rééduquent l’attention et restaurent la lucidité.
Chaque accompagnement que je propose à Lyon 69006 est unique.
Nous travaillons ensemble pour :
apaiser la charge mentale ;
diminuer l’hypervigilance liée aux écrans ;
restaurer un sommeil réparateur ;
renforcer la confiance et la présence à soi.
🌸 Mon rôle, en tant que sophrologue à Lyon, est de vous aider à transformer votre rapport au numérique en une relation consciente et apaisée.
Scroller n’est pas anodin, mais cela peut devenir une occasion de se recentrer. En sophrologie, nous utilisons les 5 sens pour ramener la conscience à l’instant présent. Même en plein scrolling, vous pouvez :
sentir vos appuis sur le sol ou la chaise,
percevoir le contact du téléphone entre vos doigts,
interroger votre regard : cette information est-elle utile maintenant ?,
écouter votre respiration et l’approfondir,
observer vos sensations corporelles (tension, fatigue, curiosité…).
👉 Ce retour aux sens redonne du sens : vous reprenez le pouvoir sur votre attention, au lieu de subir le flux.
Limiter son temps d’actualité : 10 à 15 minutes à des moments précis de la journée.
Respirer avant de scroller : un geste simple qui calme l’amygdale.
Sélectionner ses sources : choisir la qualité plutôt que la quantité.
Pratiquer une activité de recentrage : sophrologie, méditation, marche consciente.
Nourrir le positif : un carnet de gratitude, un souvenir agréable, une conversation bienveillante.
Je suis Sophie Varaine, sophrologue certifiée installée à Lyon 69006.
J’accompagne les personnes sujettes au stress numérique, à la dépendance aux écrans et à la fatigue mentale.
Grâce à la sophrologie, vous apprenez à :
calmer votre mental,
réguler votre respiration,
retrouver lucidité et discernement,
et préserver votre équilibre émotionne
Le doomscrolling et la dépendance numérique ne sont pas une fatalité.
La sophrologie, pratiquée avec Sophie Varaine, sophrologue à Lyon 69006, vous aide à :
retrouver une attention calme,
et vivre une relation plus libre à l’information.
📅 Prenez rendez-vous dès aujourd’hui pour une séance à Lyon et commencez à respirer loin du bruit du flux numérique.
🌿 Prendre rendez-vous
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À Lyon, la sophrologie s’impose peu à peu comme une approche complémentaire reconnue par le corps médical.
Les médecins, psychologues et praticiens de santé s’ouvrent de plus en plus à son intérêt dans la gestion du stress, de la douleur et de la santé mentale.
Sophie Varaine, sophrologue à Lyon 69006, s’inscrit dans cette dynamique en accompagnant les personnes souffrant de douleurs chroniques dans le cadre de parcours thérapeutiques intégratifs.
En septembre dernier, le Syndicat des Médecins Libéraux (SML) a rappelé l’importance de développer certaines approches non médicamenteuses en santé.
Sa présidente, le Dr Sophie Bauer, déclarait :
« L’hypnothérapie est utile pour arrêter des addictions chroniques comme le tabac ou l’alcool et dans la prise en charge des deuils pathologiques. Pour le syndrome de stress post-traumatique, une technique non médicamenteuse privilégiée est le mouvement oculaire rapide associé au récit de l’événement. D’autres méthodes, telles que la cohérence cardiaque et l’acupuncture, sont également efficaces, notamment pour certaines douleurs chroniques. »
(Source : Univadis, 8 septembre 2025).Ce discours met en lumière une réalité bien connue des patientes : le médicament seul ne suffit pas toujours à répondre à la complexité de la douleur chronique.Cette reconnaissance renforce un constat partagé : la prise en charge de la douleur chronique nécessite une approche globale — médicale, psychologique et corporelle.
C’est dans ce contexte que la sophrologie trouve toute sa légitimité, en accompagnement des traitements prescrits.
La douleur chronique touche des milliers de femmes — endométriose, fibromyalgie, migraines, douleurs post-cancer, vulvodynies… Elle s’accompagne souvent de fatigue, d’anxiété et d’une difficulté à s’adapter au quotidien.
👉 Il est cependant essentiel de distinguer deux situations :
Être atteinte de douleurs chroniques et en souffrir au quotidien : la santé mentale reste globalement saine. La sophrologie trouve alors sa place, en aidant à gérer les émotions, le stress et la perception douloureuse.
Être dans un état de santé mentale atteinte : dépression sévère, troubles psychiatriques, souffrance psychique intense. Ici, le suivi relève d’abord de la compétence des psychologues et psychiatres. La sophrologie peut ensuite intervenir en complément, une fois l’équilibre stabilisé.
La neuropsychologie et les neurosciences nous apprennent que :
Le système nerveux central peut amplifier les signaux douloureux (sensibilisation centrale).
Le stress chronique entretient cette hyperactivité neuronale, accentuant la perception douloureuse.
Les circuits émotionnels (amygdale, hippocampe) participent à l’anticipation anxieuse de la douleur, créant un cercle vicieux.
👉 La sophrologie agit précisément sur ces mécanismes : elle stimule le système parasympathique (respirations spécifiques, relaxations dynamiques, evocations positives,…), réduit l’hypervigilance corporelle et entraîne le cerveau à recréer des associations positives.
Dans la pratique, les parcours thérapeutiques reposent sur une coopération active entre médecins et praticiens complémentaires :
L’ORL peut orienter une patiente vers la sophrologie pour diminuer l’angoisse liée aux acouphènes.
Une sage-femme peut recommander un suivi pour mieux gérer les douleurs de l’endométriose par exemple
Une diététicienne peut intégrer la sophrologie dans la prise en charge d’un trouble du comportement alimentaire afin de réguler les émotions.
Une endocrinologue peut la suggérer dans un parcours de PMA, pour apaiser le stress et les peurs et accompagner les répétitions éventuelles des protocoles
Un psychologue ou un psychiatre peut recommander la sophrologie une fois la santé mentale stabilisée, afin de consolider la gestion des émotions et du stress.
Ces recommandations sont des relais, et non des prescriptions : elles témoignent de la reconnaissance croissante du rôle des praticiens complémentaires.
La sophrologie ne remplace pas le suivi médical. Elle agit comme un support complémentaire, en permettant de :
réduire la perception douloureuse par des techniques de substitution sensorielle
apaiser les peurs et les angoisses grâce aux transformations des cercles vicieux installés en cercles vertueux
renforcer la confiance et l’autonomie au quotidien grâce à la répétition de la pratique en conscience
améliorer l’observance thérapeutique en aidant les patientes à mieux écouter et décrire leurs ressentis aux médecins.
Cette complémentarité rend les parcours de soins plus cohérents et plus humains.
La prise de position du SML illustre, pour moi, un changement de regard : la prise en charge des douleurs chroniques ne peut se limiter aux médicaments.
La sophrologie s’adresse en particulier aux femmes dont la santé mentale reste stable, mais qui souffrent au quotidien de douleurs chroniques. Elle leur offre un espace d’écoute et des outils concrets pour redevenir actrices de leur santé.
👉 Si vous souffrez de douleurs chroniques féminines et souhaitez explorer un accompagnement complémentaire à votre suivi médical, je vous accueille à Lyon et en ligne pour des séances personnalisées.
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Lorsqu’un diagnostic de cancer du sein survient, l’enjeu principal est souvent de vaincre la maladie. Mais au-delà du traitement, la question de la reconstruction mammaire se pose fréquemment : comment retrouver un équilibre, aussi bien physique que psychologique ? Cet article présente l’état des lieux des reconstructions mammaires en 2024 et souligne l’importance d’une approche globale et multidisciplinaire — notamment à travers la sophrologie.
État des lieux en 2024
Signification pour la patiente
La reconstruction mammaire n’est pas un simple geste esthétique : elle peut contribuer à l’équilibre psychologique et à la qualité de vie. Cependant, renoncer à cette reconstruction reste un choix parfaitement respectable s’il est choisi, voire libérateur pour certaines.
L’essentiel ? Disposer des bonnes informations et se sentir soutenue dans sa décision.
La Prothèse
L’Autologue (lambeau)
Les Approches Mixtes
Si la reconstruction est un pas essentiel pour certaines patientes, garder un buste plat peut représenter :
Cette diversité des trajectoires souligne une réalité : plus qu’une simple question d’esthétique, la reconstruction (ou son refus) relève d’un besoin de cohérence et de bien-être. Chacune doit pouvoir tracer sa voie en toute liberté.
Les Soins de Support
Zoom sur la Sophrologie
La sophrologie est un soin support reconnu en oncologie. Elle propose des techniques de respiration, de relaxation musculaire et de visualisation, qui peuvent aider à :
Le 8 mars 2025, j’ai eu l’honneur de co-animer un atelier pilote pour l’association BPRM, en collaboration avec Blandine Hue sa présidente au sein de La Maison des Bonnes Fées au Centre Léon Bérard à Lyon.
L’objectif :
Cette initiative s’inscrit dans un projet de film documentaire, visant à diffuser une meilleure connaissance des solutions existantes, pour que chaque femme se sente actrice et non spectatrice de ses propres choix.
Gérer la Douleur, Apaiser la charge mentale, Soulager la charge émotionnelle:
Déployer la Résilience
Des Chiffres Encourageants
Respecter le Libre Arbitre
Le cancer du sein est une épreuve complexe, autant pour le corps que pour l’esprit. S’informer sur la reconstruction mammaire et ses différentes méthodes — ou choisir de conserver un buste plat — fait partie d’un même processus : celui de se réapproprier sa santé et de retrouver un équilibre global.
D’un autre côté, l’accompagnement psycho-corporel, et notamment la sophrologie, apporte un véritable soutien pour gérer la douleur, l’anxiété et restaurer l’estime de soi. Je l’ai constaté à travers mon parcours de sophrologue, notamment lors de l’atelier pilote mené au Centre Léon Bérard.
« Le doute est une force : on questionne, on explore, et on se découvre plus solide que prévu. »
Sachez que vous n’êtes pas seule: Des associations sont à votre écoute, notamment :
Je reste quant à moi disponible pour échanger, et selon votre besoin définir un accompagnement personnalisé : Vous aider à avancer vers un mieux-être qui respecte votre singularité.
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J’avais 19 ans lorsque j’ai découvert la sophrologie pour la première fois.
À cette époque, mon regard sur la douleur et la souffrance était encore en construction, façonné par mes premières expériences en milieu hospitalier.
Curieuse et animée par la volonté de comprendre le fonctionnement du corps humain, je me destinais alors à une carrière dans le secteur médical.
C’est dans cet environnement que j’ai été confrontée à la réalité des douleurs chroniques. J’ai vu des patientes épuisées, perdues face à des pathologies invisibles, souffrant non seulement physiquement, mais aussi d’un manque d’écoute et de reconnaissance. Ces femmes vivaient un combat silencieux, souvent minimisé, parfois ignoré.
Un jour, au cours d’un stage de découverte, j’ai eu l’opportunité d’assister à une séance de sophrologie intégrée dans un parcours de rééducation en groupe. J’ai observé une patiente, tendue et repliée sur elle-même, qui, au fil des exercices, retrouvait peu à peu un souffle plus ample, un relâchement progressif, une présence à elle-même qu’elle semblait avoir perdue. Ce moment a été une véritable révélation : la douleur ne se résume pas à un simple symptôme à combattre, elle porte en elle un message à comprendre et à apprivoiser. La sophrologie ne faisait pas disparaître la douleur, mais elle offrait des outils concrets pour mieux la vivre, pour restaurer un lien positif avec son corps. Cette révélation a marqué le début de mon engagement.
À cette époque, en 1989, la sophrologie était encore méconnue du public, ce n’était pas encore un métier.
Ma première expérience professionnelle m’a menée vers la radiologie, où j’ai travaillé pendant plusieurs années. J’ai vu défiler des patientes en quête de réponses, confrontées à des douleurs persistantes qui semblaient souvent incomprises par le corps médical.
Combien de patientes repartaient avec un compte-rendu et un diagnostic, mais également avec une charge émotionnelle accrue, marquées par l’anxiété et une intensification de leurs douleurs face à l’incertitude de leur prise en charge ?
Plus le temps passait, plus il m’apparaissait évident qu’une approche plus globale était nécessaire. Derrière chaque cliché radiologique se cachait une histoire, un vécu, une souffrance qu’il ne suffisait pas d’analyser médicalement. Peu à peu, l’idée a mûri en moi, jusqu’à devenir une conviction profonde : il existait un autre chemin pour accompagner la douleur. En 2005, j’ai décidé de me former et de me consacrer pleinement à la sophrologie.
J’ouvrais alors mon cabinet en septembre 2007.
Dès mes premières consultations, un constat s’est imposé : la grande majorité des personnes que j’accompagnais étaient des femmes. Fibromyalgie, endométriose, migraines, douleurs musculo-squelettiques… Autant de pathologies complexes et invalidantes, souvent mal diagnostiquées, et qui laissent celles qui en souffrent dans une errance médicale éprouvante.
Beaucoup d’entre elles m’ont confié avoir entendu des phrases comme :
❌ « C’est dans votre tête. »
❌ « Vous êtes trop stressée. »
❌ « Il faut apprendre à vivre avec. »
Ces récits sont loin d’être isolés. Ils traduisent un manque criant de reconnaissance et de prise en charge adaptée. C’est précisément là que la sophrologie trouve tout son sens. Elle permet non seulement d’apporter un soulagement en travaillant sur la perception de la douleur, mais aussi de redonner aux patientes une forme de contrôle sur leur bien-être, en les aidant à apprivoiser leur corps et leurs ressentis.
🔹 Un suivi individualisé : Chaque femme est unique, chaque douleur aussi. C’est pourquoi j’adapte mes séances aux besoins spécifiques de chacune, en tenant compte de leur parcours médical et de leur quotidien.
🔹 Une approche complémentaire et globale : La sophrologie ne se substitue pas à un traitement médical, elle l’accompagne. Elle agit sur la perception de la douleur, la gestion du stress et la détente corporelle, apportant ainsi un mieux-être durable.
🔹 Un cadre bienveillant et sans jugement : Trop souvent, la douleur chronique isole. Mon rôle est d’offrir un espace d’écoute et d’échange, où les patientes peuvent exprimer ce qu’elles ressentent sans craindre d’être incomprises ou minimisées.
Repositionner le patient au centre de l’équipe pluridisciplinaire
En tant que professionnels de santé, vous êtes en première ligne face à ces patientes en quête de solutions. Vous savez combien la douleur chronique est difficile à appréhender, tant sur le plan clinique qu’humain. La sophrologie peut être un outil complémentaire précieux dans votre pratique.
💡 Elle permet de :
✔ Mieux gérer la douleur en modulant sa perception.
✔ Réduire le stress et les tensions associées aux pathologies chroniques.
✔ Améliorer la qualité du sommeil et favoriser la récupération.
✔ Restaurer une relation plus sereine avec son corps.
Je travaille en collaboration avec divers spécialistes (Médecins généralistes, ORL, Sage femmes, Rhumatologues, Kinésithérapeutes, Psychologues…) pour assurer une prise en charge globale et adaptée aux besoins des patientes. Ensemble, nous offrons des solutions plus efficaces et plus humaines aux femmes qui souffrent.
Et si vous retrouviez le contrôle sur votre douleur ?
🌿 Les douleurs chroniques ne doivent pas dicter votre quotidien !
❌Non la douleur n’est pas dans votre tète !
❌Non elle n’est pas normale !
❌Non elle ne vous définit pas !
Si vous vous reconnaissez dans ces mots, sachez qu’il existe des solutions. La sophrologie peut vous aider à retrouver de l’énergie, à réduire l’intensité de vos douleurs et à redevenir actrice de votre bien-être.
📩 Vous souhaitez en savoir plus ? Découvrez mes accompagnements et trouvez les clés pour avancer vers un mieux-être durable.
🌿 Professionnels de santé, souhaitez-vous en savoir plus sur la sophrologie et ses bénéfices pour vos patientes ?
Prenons le temps d’en parler ! Je serais ravie d’échanger avec vous pour explorer ensemble les solutions les plus adaptées. 🌿
📍 Consultations à Lyon et en Visio : https://linktr.ee/sophievaraine
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