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Entre compréhension de l’oreille interne, rôle de la cognition et importance d’un diagnostic ORL préalable.
Formée en 2014 par Colette Baglione, elle-même élève du Dr Ohresser, j’ai acquis au fil des années une expertise spécifique dans l’accompagnement des personnes atteintes d’acouphènes et d’hyperacousie.
Mon objectif : offrir un suivi complémentaire à la prise en charge médicale pour soulager les symptômes et améliorer la qualité de vie au quotidien.
Difficultés professionnelles : concentration, absentéisme.
Source : Enquête IPSOS pour France Acouphènes (2019)
Coût pour la santé publique : consultations spécialisées (ORL, psychologues, sophrologues…), avec un impact significatif sur le système de santé.
Source : Ministère des Solidarités et de la Santé, Rapport sur les troubles auditifs (2021)
Trajet du son à travers l’oreille :
Oreille externe : Le pavillon capte les sons et les guide dans le conduit auditif jusqu’au tympan.
Tympan : Les ondes sonores font vibrer le tympan en fonction des variations de pression.
Osselets (marteau, enclume, étrier) : Les vibrations sont transmises et amplifiées par ces trois petits os de l’oreille moyenne.
Fenêtre ovale : L’étrier transmet les vibrations à la fenêtre ovale, qui marque l’entrée de l’oreille interne.
Cochlée (oreille interne) : Cette structure remplie de liquide reçoit les vibrations et les transforme en mouvements du liquide interne.
Cellules ciliées : Présentes dans la cochlée, elles convertissent ces mouvements en signaux électriques.
Nerf auditif : Les signaux sont ensuite transmis au cerveau via ce nerf.
Le traitement cérébral
Le cerveau, notamment le cortex auditif, analyse ces signaux, permettant la perception du son.
La cochlée transforme les vibrations sonores en impulsions électriques. Ces signaux voyagent via le nerf auditif jusqu’au cerveau, où ils sont interprétés.
Hyperactivité neuronale : En cas de lésion ou de manque de stimulation auditive, le cerveau peut compenser en “inventant” un son (mécanisme proche du “membre fantôme”).
Dérèglement de la régulation auditive : Les filtres qui inhibent certains bruits peuvent cesser de fonctionner correctement, laissant passer ou amplifiant les sifflements.
Focus cognitif: Plus l’attention se porte sur le bruit, plus il s’intensifie. L’anxiété et le stress renforcent ce phénomène, engendrant un cercle vicieux.
La sophrologie associe:
Libérer le mental et l’émotionnel:
Pour objectiver l’impact des acouphènes et suivre les améliorations, le THI s’avère précieux :
Au début du parcours : identifier la gêne initiale.
À mi-parcours : mesurer les évolutions, valider l’efficacité des séances et ajuster si nécessaire.
En fin de parcours : confirmer les résultats obtenus et renforcer l’estime de soi.
Cette traçabilité précise des progrès stimule la motivation et favorise une plus grande autonomie.
Atténuation de la gêne auditive : meilleure gestion de l’attention, réduction des sifflements perçus.
Amélioration du sommeil et de l’humeur : les exercices de relaxation et de recentrage facilitent l’endormissement.
Retour à une vie sociale harmonieuse : regagner en confiance facilite la reprise d’activités et la tolérance aux environnements sonores.
Complémentarité avec le suivi médical : la sophrologie soutient les traitements (masqueurs, prothèses, thérapies sonores…).
Autonomie renforcée : chacun peut pratiquer de manière autonome et maintenir ses acquis.
Combien de temps pour ressentir un mieux ?
Chaque personne progresse à son rythme. Certains observent des résultats rapides, d’autres ont besoin de plusieurs semaines de pratique régulière.
La sophrologie guérit-elle définitivement les acouphènes ?
Elle ne guérit pas la cause physique potentielle mais réduit l’impact et améliore la qualité de vie.
Dois-je arrêter mon traitement ORL ?
Non. La sophrologie se pratique en complément d’un suivi médical ou paramédical.
Les techniques sont-elles difficiles à apprendre ?
Elles sont accessibles à tous, quel que soit le profil. Les exercices de respiration, de relaxation et de visualisation sont simples et progressifs.
Pourquoi utiliser le THI ?
Le THI objectivise l’évolution, valide l’efficacité de la sophrologie et renforce la motivation grâce à des résultats mesurables.
Comprendre le fonctionnement de l’oreille interne et l’importance du mental dans l’émergence ou l’amplification des acouphènes et de l’hyperacousie marque une étape cruciale dans la voie de l’apaisement. Mon accompagnement en sophrologie, enrichi par des années de pratique et de formation, propose une approche globale et personnalisée. Couplée à un suivi médical et à un outil d’évaluation tel que le THI, cette méthode ouvre la porte à un mieux-être durable.
Sophie Varaine
Sophrologue & Hypnothérapeute — Accompagnement spécialisé pour soulager et apaiser les troubles auditifs.
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